lundi 31 octobre 2011

Réunion : 2 avions envoyés pour la lutte contre les incendies

Le ministre de l'Intérieur et de l'Outre-Mer Claude Guéant a annoncé ce soir dans un communiqué l'envoi de deux avions bombardiers d'eau Dash pour lutter contre l'incendie qui ravage le Parc national de La Réunion. L'avion bombardier d'eau Dash-8 peut emporter 12.000 litres d'eau par rotation contre 800 litres pour un hélicoptère.

Le ministre de l'Intérieur a précisé que la mçnistre chargée de l'outre-mer, Marie-Luce Penchard, se rendrait à La Réunion mercredi ""pour apporter son soutien aux effectifs engagés et suivre l'évolution des opérations". Selon Claude Guéant, depuis le démarrage des incendies criminels à La Réunion, près de 2700 hectares ont brûlé "dans des secteurs très escarpés et du fait d'une météo très défavorable".

Au côté des 400 sapeurs-pompiers du département de La Réunion, "l'engagement de l'Etat a été massif", a affirmé le ministre. Il a ajouté que 420 hommes et femmes spécialisés dans la lutte contre les feux de forêts ont été envoyés de la métropole ont été déployés sur le front des feux depuis cinq jours.

"Tous les moyens techniques et matériels utiles ont été mis à disposition sur le terrain pour attaquer les feux", affirme le ministre de l'Intérieur. Il a ajouté qu'ils "sont, aux dires des professionnels et experts de la lutte contre les feux de forêts, les plus adaptés pour faire face à ce type d'incendie, compte tenu du relief montagneux très escarpé, et compte tenu du sol, qui nécessite un travail au plus près". "Cette lutte a commencé à porter ses fruits", a ajouté le ministre.

Réunion : situation stable mais fragile sur le front des incendies

Vidéo : Technique personnel de sauvetage et de sauvetage de victime.

Une vidéo montrant une technique US équivalent au "Lot de Sauvetage" français avec une technique et une valeur ajouté très explicite ! Jugez en par vous même.

Vidéo : les dernières images du feu à la Réunion




USA : Vidéo : Backdraft d'un batiment avec 3 pompiers à l'intérieur

Cette vidéo montre un backdraft suite à un incendie dans un restaurant à Franklin dans l'Ohio.
Fort heureusement les trois pompiers s'en sortent indemne.

USA : Vidéo: conducteur ivre renversant deux pompiers

Une vidéo montrant un pompier renversé par une voiture conduite par une femme sous l'emprise d'alcool.
Dans cet accident, deux pompiers de Goose Creek en Caroline du Sud ont été gravement blessé.

Cluses : 11 personnes évacuées suite à un feu de cave

Dimanche en fin d’après-midi à Cluses, un incendie s’est déclaré dans une cave d’un immeuble du quartier des Ewües, rue de l’Avenir.
11 personnes ont été évacuées et deux d’entre elles ont été transportées à l’hôpital d’Annemasse puis à Lyon, légèrement intoxiquées. Plus d’une trentaine de sapeurs-pompiers ont été déployés pour venir à bout du sinistre. La cave a été entièrement détruite par les flammes mais les appartements n’ont pas été touchés, exceptés par les fumées.

HONGRIE : Quatorze décès dans un accident entre un minibus et un camion

Quatorze passagers d'un minibus, dont trois enfants, sont décédés lundi matin à la suite d'une collision frontale avec un camion dans le sud de la Hongrie, a indiqué la police locale.
Les premiers éléments de l'enquête laissent penser que le camion a traversé la barrière centrale de l'autoroute M43 pour des raisons encore inconnues, a déclaré un porte-parole de la police locale à l'agence d'information hongroise MTI. L'accident s'est produit avant l'aube.
Le seul passager du minibus qui a survécu a été libéré de l'épave du véhicule par les secouristes. Le conducteur du camion a également survécu. Tous deux ont été transportés vers un hôpital proche de la ville de Szeged (sud) et seraient dans un état grave.
Szablocs Szenti, porte-parole de la police, a déclaré que l'accident pourrait être dû à une négligence grave et qu'il ferait par conséquent l'objet d'une enquête criminelle

Les deux véhicules étaient immatriculés en Roumanie.Le minibus, provenant de Valence en Espagne, se rendait vers la capitale roumaine, Bucarest. Le camion transportait quant à lui du bois, de la Roumanie vers l'Allemagne, selon MTI.

Wittelsheim : une voiture percute une ambulance des pompiers

Ce lundi vers 14 h, une voiture conduite par une habitante de Pulversheim qui se dirigeait vers le centre ville de Wittelsheim est entrée en collision avec une ambulance des pompiers de Cernay qui arrivait de Staffelfelden, à l'angle de la rue d'Ensisheim et l'entrée de la cité Rossalmend à Wittelsheim.
L'ambulance transportait un patient victime d'un malaise vers le centre hospitalier de Mulhouse. Sous le choc, la voiture s'est immobilisée sur le flanc.
Les sapeurs-pompiers de Wittelsheim et de Mulhouse sont intervenus pour prendre en charge la conductrice de l'auto, âgée de 48 ans, ainsi que le patient de l'ambulance, âgé de 61 ans, souffrant de douleurs thoraciques.
Tous deux ont été conduits à l'hôpital Emile Muller à Mulhouse. Les gendarmes de Wittelsheim se sont rendus sur place pour les constatations ainsi que le chef de groupe des pompier.

http://www.lalsace.fr

Accident sur la RN 165 : le véhicule des pompiers au fossé


Un accident de la circulation a fait six blessés, à Vannes, ce jeudi midi. Une voiture a été percutée par un poids-lourd. Pour les éviter, un camion de pompiers a fini sa course dans le fossé.
Une voiture, un poids-lourd, un véhicule de pompiers. Six blessés. La circulation bloquée pendant deux heures. Plusieurs kilomètres de bouchon formés. Tel est le bilan de l'accident qui s'est produit ce jeudi midi, sur la RN 165, dans le sens Lorient-Vannes.
Selon la police, la voiture roulait sur la bretelle d'entrée de quatre voies, à hauteur de la Fnac, à Vannes. D'après les premiers éléments de l'enquête, elle aurait forcé le passage pour s'imposer dans la circulation. La voiture a été percutée par un poids-lourd qui s'est alors mis en portefeuille sur la chaussée.
Un véhicule de secours et d'assistance aux victimes (VSAV) des sapeurs-pompiers a été obligé de se déporter pour éviter de percuter les deux véhicules accidentés. Il a fini sa course dans un fossé en contrebas, après avoir franchi la barrière de sécurité et chuté de plusieurs mètres.

Trois pompiers blessésLes trois pompiers qui se trouvaient à bord sont blessés. Ils transportaient depuis Auray vers l'hôpital de Vannes une victime. Elle aussi a été touchée. La voiture transportait une fillette, sa maman et sa grand-mère. Deux d'entre elles sont blessées. Tous ont été conduits au centre hospitalier de Vannes.
La circulation a été bloquée dans le sens Lorient-Nantes pendant près de deux heures. Une déviation a été mise en place. Dans le sens inverse, un bouchon de plusieurs kilomètres a également fortement perturbé la circulation. Les glissières de sécurité devraient être changées dans la journée. Les véhicules, eux, ont été enlevés par des dépanneuses. La police a ouvert une enquête.

BOVÉE-SUR-BARBOURE : INCENDIE DE HANGAR


Dans la nuit de samedi à dimanche, aux alentours de 4 h du matin, un incendie s’est déclaré à l’EARL du Cerisier, sur la commune de Bovée-sur-Barboure. Le hangar abritant des centaines de bottes de fourrages ainsi que de l’ammonitrate (engrais pour l’agriculture) et du matériel agricole était déjà totalement embrasé à l’arrivée des secours.

Les hommes du feu venus des casernes de Void, Commercy et Vaucouleurs avec deux fourgons-pompes tonne, la grande échelle et un porteur d’eau, sous les ordres du lieutenant Savard et du capitaine Lebrun ont établi deux lances, afin de protéger la vingtaine de tonnes d’engrais, qui pouvait devenir explosif en cas d’incendie. Les propriétaires des lieux présents sur place avec engin de levage ont aidé les pompiers à évacuer l’ammonitrate afin de sécuriser le hangar et poursuivre son extinction. Les gendarmes ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de cet incendie dans ce bâtiment isolé et dépourvu d’électricité.

http://www.estrepublicain.fr

dimanche 30 octobre 2011

Réunion : "Le Dash 8 n’est pas la solution immédiate"

Des élus, comme Huguette Bello et Claude Hoarau, et une grande partie de l’opinion publique en sont convaincus : seul le Dash 8 peut sauver les forêts des Hauts de l’Ouest et du Sud. Et c’est pour cette raison que le préfet Michel Lalande doit faire face à la colère de ces mêmes élus qui exigent le retour de l’avion et qui accusent l’Etat d’incompétence ou encore de vouloir faire des économies sur le dos du patrimoine réunionnais.

Le Dash 8 est-il bien ce puissant oiseau de fer capable de mater le grand incendie en quelques coups d’ailes et de largages d’eau ? Pour les spécialistes des feux de forêt, la réponse est non. En tout cas, pas tout de suite et pas dans la situation que traverse actuellement la Réunion. “On prête à cet avion un pouvoir qu’il n’a pas”, explique un expert. Pourtant n’est-ce pas cet appareil qui, l’an passé, s’est révélé décisif ? “C’est faux, répond la direction générale de la Sécurité civile, à Paris.

Pour les experts, un mythe s’est créé à la Réunion autour du Dash 8. “Beaucoup de personnes considèrent qu’en 2010, la solution est venue du ciel mais ce n’est pas exact, précise le lieutenant-colonel Florent Hivert, porte-parole de la direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des crises. L’an dernier, le Dash 8 était entré en action alors que les pompiers étaient “maîtres du feu”. Le plus gros du travail avait été fait sur le terrain par les pompiers, les militaires, les agents de l’ONF et tous les volontaires qui avaient “gratté le terrain”, comme l’on dit, pour constituer des tranchées pare-feu.

Saint Brieuc : Un 2e incendie ravage un immeuble


Vers 17 h 40 le second incendie de l’après-midi à à Saint-Brieuc a ravagé cette fois un immeuble de cinq appartements au 61, rue Bagot dans les quartiers Ouest. Sept personnes se trouvaient à l’intérieur lorsque l’incendie s’est déclaré au rez-de-chaussée et s’est propagé par la cage d'escalier au 2e étage et aux combles. Elles ont été évacuées. Un couple est sorti par la fenêtre avec l’échelle d’un voisin. Une personne a été évacuée par la fenêtre du 2e étage par les pompiers à l’aide de la grande échelle.

Vingt-cinq pompiers ont été mobilisés. Vers 19 h le feu semblait circonscrit mais les secours étaient toujours sur place. L’immeuble est désormais inhabitable, tous les habitants ont dû être relogés.

Ouest-France

Saint Brieuc : Un appartement en feu : 12 personnes évacuées



Vers 15 h un incendie s’est déclaré dans un appartement situé au 2e étage d’un immeuble neuf situé 8, rue du Vau-Louis (non loin de l’hôpital de Saint-Brieuc). La cage d’escalier étant enfumée, une douzaine d’habitants de l’immeuble se sont réfugiés sur les balcons. Les pompiers les ont évacués à l’aide d’échelles et ont rapidement éteint l’incendie. Cinq personnes ayant inhalé des fumées ont été examinées par le Samu, elles sont indemnes. L’appartement d’où est parti le feu est inhabitable. Le feu serait d’origine accidentelle.


Ouest-France  

Accident d'avion à l'aéroport de Toulouse, 3 morts

Trois personnes ont été tuées et une quatrième a été grièvement blessée dans un accident d'avion survenu vendredi soir sur la piste de l'aéroport international de Toulouse-Blagnac, a-t-on appris auprès de la préfecture.
Les quatre victimes sont les membres d'une famille franco-autrichienne. Le père et sa fille de 13 ans ont été tués sur le coup. La mère est décédée samedi matin à l'hôpital Purpan de Toulouse.
L'unique survivant est un garçon âgé de 10 ans dont le pronostic vital n'est pas engagé, a précisé à Reuters Eric Berton, sous-préfet de la préfecture de région Midi-Pyrénées.
L'accident est survenu vendredi vers 21h40. Pour des raisons encore inconnues, l'appareil privé s'est écrasé sur la piste, où il s'est coupé en deux et a pris feu.
Au moment de l'accident, des bourrasques de pluie et de vent balayaient la région toulousaine.
Le trafic aérien, suspendu à la suite de l'accident, a été rouvert vers 23h30.
Le préfet de la région Midi-Pyrénées, Eric Comet, et un représentant du parquet de Toulouse, se sont rendus à l'aéroport de Toulouse peu avant minuit.

Brest : Feu d’appartement fait cinq blessés


Les pompiers sont intervenus vers 8 h ce samedi matin pour éteindre un feu d’appartement. Celui-ci s’est déclaré dans un logement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble du numéro 6 de la rue du Tregor à Brest, dans le quartier de Bellevue. Cinq personnes ont été prises en charge par les pompiers après avoir inhalé de la fumée. Elles ont été conduites au centre hospitalier de Brest. L’intervention des pompiers s’est terminée peu après 9 h. L’appartement du rez-de-chaussée a été détruit par l’incendie.


Ouest-France  

Suisse : Grisons: un entrepôt complètement détruit par le feu à Zizers

Un hangar a été entièrement détruit dans un incendie qui a éclaté tôt samedi matin à Zizers (GR). Personne n'a été blessé. En raison du fort dégagement de fumée, il a été demandé aux habitants de maisons voisines de garder leurs fenêtres fermées.
L'alarme a été donnée vers 07h00. Il a fallu plus de trois heures aux quelque 65 pompiers pour circonscrire le sinistre, a indiqué la police cantonale. La bâtisse, longue d'une cinquantaine de mètres, appartenait à un commerçant en automobiles.
Le montant des dégâts n'est pas encore connu. Une enquête a été ouverte pour déterminer la cause de cet incendie.

Oltingue : Incendie, pas de blessés


Un incendie s’est déclaré à ce matin rue de l’Église à Oltingue ravageant une maison d’habitation et sa dépendance. Aucune victime n’est à déplorer.

Quarante hommes du feu, d’Oltingue, Saint-Louis, Waldighoffen, Altkirch et Mulhouse équipés de quatre fourgons pompe tonne et d’une grande échelle sont intervenus au 14 rue de l’Église à Oltingue pour circonscrire un incendie qui s’est déclaré à 8 h 45 dans une grange pleine de foin abritant trois chevaux, incendie qui s’est rapidement propagé à la maison d’habitation attenante.

Après avoir délivré les animaux, les sapeurs-pompiers ont dû se déployer sur plusieurs fronts : devant, derrière et dans la grande, à l’intérieur de la maison, et avec la grande échelle au-dessus du toit en proie à de gigantesques flammes. Mission importante, éviter que l’incendie ne se propage à la maison voisine située à quelques centimètres à peine et qu‘elles n’atteignent trois citernes, une de gaz et deux de fuel.

Sous les ordres du chef de colonne de Saint-Louis Frédéric Roth, lui-même sous les ordres du lieutenant Denain, les sapeurs-pompiers ont pu contenir l’incendie vers 10 h 30. Durant toute la journée, une surveillance a été mise en place. La maison d’une surface au sol de 300 m ² de type alsacien appartient à une famille suisse composée de cinq personnes. Au moment du drame, seuls le père et l’un de ses enfants étaient sur place. Ils ont pu évacuer leur maison sans être blessés. Ils seront ainsi que le reste de la famille relogés par des amis qui habitent à Oltingue.

« Nous leur avons proposé de leur prêter un appartement, indique André Scherrer, maire d’Oltingue mais, ils ont dit avoir des amis dans la commune qui les hébergeront ». Pour faciliter les opérations de secours, l’escadron de gendarmerie de Ferrette dirigé par le capitaine Michel Follot ainsi que les brigades de gendarmes de Ferrette et Pfetterhouse ont sécurisé le périmètre et mis en place des déviations. Ils ont ouvert une enquête pour déterminer les causes du sinistre qui à l’heure où nous mettons sous presse restent inconnues

Saint Nazaire : Le feu détruit 400 m2 de locaux commerciaux


Un incendie s’est déclaré cette nuit, peu après 1 heure, dans des bâtiments commerciaux situés au bout de la rue Henri-Gautier. Le sinistre aurait débuté dans un atelier utilisant de la résine et des solvants. Il a ensuite touché les locaux voisins, détruisant environ 400 m2. Le feu a mobilisé 65 pompiers de plusieurs centres de secours du secteur.

Presse-Océan  

vendredi 28 octobre 2011

La Marine teste la veste du futur

Les marins-pompiers de Brest et de Toulon viennent de s'équiper d'une veste d'intervention révolutionnaire, façon pompier du troisième millénaire.

Un pompier qui part au feu a rarement les mains libres; occupé à tenir, lâcher et récupérer le matériel divers qu'il doit emporter avec lui. Le nouvel équipement, tout intégré, concentre un émetteur et sa batterie, un système d'éclairage à LED, des capteurs et des appareils de vision en atmosphère confinée (caméra vidéo et thermique) sur le casque et dans le textile.

Éviter le coup de chaud Il a fallu plus de quatre ans au marin-pompier Luc Brohan et à l'industriel Pascal Barguirdjian (Technisolar-Seni à Saint-Malo) pour mettre au point ce vêtement d'intervention. Le grand danger sur un incendie, c'est le coup de chaud, la montée de la température corporelle qui vous amène au tapis (perte de connaissance) le pompier le mieux protégé, le mieux entraîné du monde. À l'aide de différents capteurs positionnés sur la peau, le pompier et son entourage, via une console de contrôle, peut suivre l'évolution de sa température corporelle ainsi que son taux d'humidité. Au-delà d'une limite établie au cours de tests réalisés en situation extrême, un signal indique au pompier de renoncer et de faire demi-tour. Un capteur de mouvements, également intégré à la veste, émet un signal et informe immédiatement l'opérateur de surveillance. Gaz toxiques et fumées dangereuses sont ainsi détectés par de minuscules capteurs intégrés à la veste. Afin de résister aux fortes températures, il a fallu utiliser des résines et des éléments de protection thermique spécifiques. Particulièrement au niveau de l'émetteur et de la batterie placée sous la veste, au niveau de la poitrine (risque d'explosion à 80 degrés). Une caméra thermique accrochée au casque, développée tout spécialement, aide à décrypter les sources lumineuses en indiquant les températures en temps réel.

Tout voir et tout enregistrer Une caméra miniaturisée, scratchée sur la poitrine, permet de filmer l'intervention en se jouant des puissants contre-jours. Les gendarmes et les policiers l'utilisent déjà en cas d'interpellation de suspects. Enfin, un système de géo-localisation peut être installé à la demande afin de retrouver un élément dans une configuration de bâtiments compliqués, dégradés ou effondrés. La veste a déjà fait ses preuves au centre d'entraînement des marins-pompiers à Brest. Elle rejoindra bientôt les bateaux et les sous-marins. Au compte-gouttes puisque seulement deux exemplaires sont actuellement testés à Brest et à Toulon.

Autour de 5.000 € pièce D'après ses concepteurs, son prix (5.000 €) ne devrait pas être un frein; la somme des éléments séparés qu'utilise un pompier d'aujourd'hui dépassant largement ce budget. Avec l'argument imparable d'une production 100% française, voire bretonne et «entre 200 à 300 emplois à la clé», d'après les inventeurs.

Réunion : Incendie au Maïdo : Le feu a parcouru 1500 hectares


La situation s’est dégradée dans la nuit. Le feu a progressé en direction du sud vers la forêt des Makes et vers l’est atteignant le sommet des remparts de Cilaos.

Environ 1500 hectares ont été parcourus par le feu. Ce matin, la priorité est donnée à la lutte contre la propagation du feu sur le front sud pour tenter de préserver la forêt domaniale des Makes.
Météo France prévoit un renforcement des vents aujourd’hui.

Plus de 400 personnels sont toujours engagés. 8 hélicoptères sont engagés sur zone (dont 4 hélicoptères bombardiers d’eau).
Les agents de l’ONF (76), renforcés par les FAZSOI (63), les agents communaux de Saint-Louis (20), Saint-Leu (20), s’emploient à ouvrir des pistes et construire des pare-feux.

Les renforts Une mission d’appui de la sécurité civile est arrivée ce matin. Il s’agit d’un renfort de commandement de 3 personnes (spécialistes de la lutte contre le feu de forêt).
200 autres militaires et sapeurs-pompiers métropolitains sont en cours de mobilisation pour venir épauler et relayer les équipes réunionnaises.

jeudi 27 octobre 2011

Réunion : la Sécurité civile de Nogent et Brignolles à la rescousse


L'incendie qui sévit dans le Parc national de la Réunion, classé au patrimoine mondial de l'Unesco, s'est considérablement aggravé jeudi en se propageant vers le sud de l'île sous l'effet du vent, selon la préfecture qui évalue à 1.000 hectares les surfaces de forêt détruites par le feu en moins de trois jours.Près de 400 pompiers, agents de l'ONF, gendarmes et militaires participent à la lutte contre l'incendie qui aurait été allumé par un ou plusieurs pyromanes.

La Sécurité civile en renfort. Une MASC (Mission d'Appui de la Sécurité Civile) composée de trois sapeurs sauveteurs hautement qualifiés de l'UIISC1 de Nogent-le-Rotrou, a rejoint l'aéroport de Roissy cet après-midi (photo UIISC1). Ils seront en renfort en préfecture et au poste de commandement des unités d'intervention feux de forêts présentes sur l'île.

Déjà 60 hommes de l'Unité d'instruction et d'intervention de la sécurité civile de Brignolles (Var) sont arrivés dans l'île et ont été immédiatement acheminés sur place avec une dizaine de tonnes de matériel (bâches, tronçonneuses, tuyaux, moto-pompes).

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr

USA : 4 pompiers blessés dans l'Ohio

Quatre pompiers de Columbus ont été piégés la nuit dernière au deuxième étage d'une maison en feu de Hilltop.
Deux d'entre eux on dû briser une fenêtre et sauter d'environ 6 mètres pour échapper aux flammes. Ils ont été pris en charge et transporté à l'Ohio State University Medical Center pour des brûlures à la tête, au cou et aux mains, ainsi que pour des lésions dû à leur saut. Les deux autres pompiers ont plongé dans un escalier pour sortir de la maison.

Lorsque les pompiers sont arrivés vers 20h20, il étaient confronté à un feu nourri au premier étage. Les pompiers se sont engagé à l'intérieur, pensant que les résidents étaient à l'intérieur.
Les pompiers qui étaient à la recherche au deuxième étage ont été pris dans un «embrasement éclair».

SUISSE : Incendie à l'OMPI: 700 personnes évacuées, pas de blessés à Genève

Un incendie s’est déclaré jeudi vers 11h35 dans une armoire électrique de l’ancien bâtiment de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI) à Genève. Contenu aux sous- sols, le sinistre a été maîtrisé vers 13h00. Quelque 700 personnes ont été évacuées. Personne n’a été blessé.

Le feu a provoqué une forte et dense fumée. «L’ensemble du personnel de l’OMPI, y compris des bâtiments adjacents, a été évacué par précaution», a indiqué à l’ats Patrick Pulh, porte-parole de la police genevoise.

Le feu a pris dans une cabine électrique de 18’000 volts. Il a fallu couper l’électricité avant d’intervenir pour éviter tout risque d’explosion, a expliqué le capitaine Nicolas Schumacher.

De la poudre a été utilisée pour maîtriser le sinistre. Les lieux ont ensuite été ventilés. Le personnel devait réintégrer les bureaux en début d’après-midi.

Paris : Un incendie ravage l'immeuble de Ladurée sur les Champs Elysées


Autour de 11h ce matin, un incendie a pris dans les cuisines du célèbre pâtissier. Aucune victime n'est à déplorer mais il y aurait de gros dégâts matériel.
Vers 11h20 ce matin, un incendie s'est déclaré dans les sous-sols de la boutique-restaurant Ladurée, au 75 de l'avenue des Champs Elysées. Il s'est très vite propagé aux étages supérieurs et une épaisse fumée a envahi l'avenue.
Immédiatement, 120 pompiers et une trentaine de véhicules sont dépêchés sur place. La cinquantaine de salariés a été évacuée rapidement. Aucun blessé n'est à déplorer, mais l'intérieur du bâtiment a subi de gros dégâts.

Une erreur humaine à l'origine du sinistreLe sinistre aurait pris dans les cuisines du sous-sol, actuellement en travaux d'embelissement. Un ouvrier aurait produit des étincelles, qui se sont ensuite propagées rapidement par l'intermédiaire de "gaines électriques" aux étages supérieurs.
Si le rez-de-chaussée a été particulièrement épargné, les étages supérieurs risquent d'avoir de gros dégâts matériels. Même s'il est pour l'instant impossible de les évaluer, "il y a des dégâts au niveau de la décoration, nous avons beaucoup d'antiquités, d'objets anciens", explique Safia Thomass, directrice de la communication.
La circulation a été coupée sur les Champs dans le sens descendant provoquant d'énormes embouteillages depuis la Porte Maillot. Elle a été rouverte en début d'après-midi.
Mais que les fans de macarons se rassurent. Les macarons Ladurée ne sont pas fabriqués sur place mais à Morangis.

Marseille : Un mort dans un feu d'appartement

Ce matin, aux alentours de 6h, les marins pompiers sont intervenus sur feu d’appartement au 9e étage de la cité des Rosiers, dans le quartier de Sainte-Marthe à Marseille (14e arr.). Au cours de l’extinction, les secours ont extrait de l’appartement sinistré le corps d'une femme âgée de 76 ans. 7 engins, sanitaire et incendie et 25 marins pompiers ont été engagés lors de cette opération qui s’est achevée presque deux heures plus tard.

http://www.laprovence.com

Carcassonne : A 20 ans, il périt dans un accident

Mardi soir, vers 19h30, une collision frontale entre deux voitures sur la rocade Nord a coûté la vie à un jeune d'Alzonne. Il n'était âgé que de vingt ans.

Un accident de la circulation a coûté la vie, mardi soir, à un jeune habitant d'Alzonne âgé de 20 ans. David Pouleur circulait sur la rocade Nord, en dessous du conseil général, lorsque sa voiture, une Peugeot 309, a percuté de front une Volkswagen Polo qui arrivait en sens inverse. Les deux passagers de la Polo ont été légèrement blessés dans la collision. David Pouleur, quant à lui, est resté prisonnier de sa voiture, transformée en amas de tôle. Les sapeurs-pompiers de Carcassonne ont dû découper le véhicule pour l'en extraire. Médicalisé sur place par les pompiers et une équipe du Smur, le malheureux a été transporté à l'hôpital, où il s'est éteint vers 21 heures.

La nouvelle de sa disparition a plongé son village, Alzonne, dans une profonde consternation. Mais pas seulement. David Pouleur était lycéen à Jules-Fil, où il préparait un BTS après avoir obtenu au printemps un baccalauréat « systèmes électroniques numériques ». Le jeune homme comptait d'innombrables amis dans le département, et en particulier dans le monde du football. En effet, il était une figure du club de Pexiora où il jouait en équipe II.

Les circonstances précises de l'accident sont inconnues pour l'instant et une enquête, menée par le bureau accidents et délits routiers (BADR) du commissariat, est en cours.

David Pouleur est la 45e victime décédée d'un accident de la route dans le département depuis le début de l'année. En 2010, 36 personnes avaient perdu la vie dans ces circonstances sur l'ensemble de l'année et, en 2009, l'on déplorait 52 victimes sur douze mois.

Réunion : Maïdo : Des renforts mais pas de Dash 8


Les soldats du feu ont contenu le principal foyer qui menaçait 700 hectares de végétation, au niveau de Piton Rouge. Seul le flanc est, inaccessible à pied, n’était pas sous contrôle, hier après-midi. Les équipes locales bénéficieront cet après-midi du renfort de 60 pompiers de métropole attendus ce matin pour empêcher le feu d’avancer vers les remparts de Mafate.

C’est surtout par la voie aérienne que la lutte contre le feu s’est jouée hier. Les hélicoptères bombardiers d’eau ont repris leurs allers-retours dès le levée du jour, dans le secteur de la forêt des Bénares. Les pompiers spécialisés du détachement d’intervention héliporté (DIH) ont de leur côté été transportés au cœur même du foyer principal, au niveau du Piton Rouge. Une zone où le feu a parcouru 350 hectares. Une cinquantaine d’hectares de plus que la veille. Une bonne nouvelle pour les soldats du feu même si la zone globale menacée concerne une surface deux fois plus grande, soit 700 hectares. Quatre départs de feu sont recensés dans le secteur. A Piton Rouge, on en compte en fait trois en un. Un dernier à Piton des Orangers. Le long de la route forestière des Tamarins, le front de flammes s’étire sur environ sept kilomètres. Au sol, pompiers et ouvriers de l’Office national des forêts (ONF) se répartissent afin d’empêcher le feu de traverser la route ; les premiers s’enfonçant dans la forêt, les autres surveillant d’éventuelles reprises, équipés de deux 4x4 porteurs d’eau. "Nous devons maintenir un pare-feu de 50 mètres de large, explique Stéphane Hoarau, conducteur de travaux pour l’ONF. En bas, c’est la forêt de Trois-Bassins qui est menacée !"

LE DASH 8 "INDISPONIBLE"Plus au nord, des collègues, finissent d’éteindre le foyer du Piton des Orangers où seulement deux hectares ont brûlé. D’autres débroussaillent le terrain le long de la piste Alfred, une voie créée dans l’urgence lors de l’incendie de l’année dernière. Les pompiers veulent encercler le foyer de Piton rouge et cette piste pourrait permettre d’atteindre les flammes dans la partie nord. Une pelleteuse a été réquisitionnée pour avancer dans la forêt. Mais le feu, inaccessible à pied, avance vite, même si le vent s’est calmé comparé à la journée précédente. Au poste de commandement, basé à quelques kilomètres seulement du gîte des Tamarins, les discussions portent surtout sur le dispositif aérien engagé. En fin de journée, le colonel Jacques Vandebeulque, directeur du Service départemental d’incendie et de secours, estime que le feu est contrôlé sur ses flancs nord (Maïdo), ouest (route forestière des Tamarins) et sud (forêt du Tévelave) : "La propagation se fait toujours du côté est, où l’enjeu est d’empêcher les flammes d’aller vers les remparts de Mafate". 61 militaires des Fazsoi ont été appelés en renfort : stagiaires et professionnels devront ce matin prêter main-forte aux ouvriers de l’ONF. Ils complètent un dispositif regroupant plus de 400 hommes, dont 176 pompiers, 73 agents forestiers, 10 du Parc National et des gendarmes. Cet après-midi, des renforts venant de métropole sont attendus : deux DIH comprenant 60 pompiers habitués à lutter contre les feux de forêt. L’histoire se répète. Mains toujours pas de Dash 8 à l’horizon. "Pour le moment, nous ne sommes pas dans une configuration où le Dash 8 est nécessaire", rétorquait le colonel Vandeubeulque. Le préfet a fini par être plus précis en début de soirée. La Sécurité civile n’a que deux "super" avions et l’un d’eux serait "indisponible" - alors que l’été est déjà loin en métropole - alors que l’autre ne serait pas opérationnel. Le colonel Vandebeulque l’affirmait pourtant avant le coucher du soleil : "Nous nous installons dans une opération de longue durée"

Toulouse : Incendie au centre-ville

Pordic : 41 pompiers pour un incendie à «l'Antre du Marin»


Un feu s'est déclaré hier, vers midi, à l'intérieur du magasin d'articles de pêche «l'Antre du Marin», situé sur la zone d'activité du Point du Jour, à Pordic. 
Alertés par de nombreux témoins, 41 pompiers se sont rendus sur les lieux pour maîtriser les flammes, ce qui a été fait rapidement. Le magasin étant fermé au départ du feu, le sinistre n'a pas fait le moindre blessé. Quant aux flammes, elles ne se sont pas non plus propagées aux magasins et aux bâtiments voisins. À l'intérieur, l'essentiel des dégâts a été causé par les fumées. Selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie, l'origine du feu serait accidentelle et plus précisément électrique.

Nantes : Incendie dans un local technique : une centaine d’employés évacués

Chaude alerte ce matin entre 7 h et 8 h dans un immeuble du boulevard Gaston-Doumergue, sur l’île Beaulieu à Nantes. Les pompiers sont intervenus en urgence pour éteindre un départ d’incendie dans un local technique. Les employés de cet immeuble de bureaux ont dû patienter sur le trottoir pendant l’intervention. Une centaine de salariés ont ainsi été évacués pendant quelques minutes. Ils ont désormais repris leurs postes.

Réunion : L’incendie continue de progresser à l’Est



Selon le bilan effectué par la préfecture hier à 17 heures, 700 hectares de forêt ont été touchés par l’incendie qui ravage le secteur de Piton Rouge dans le massif du Maïdo. Le sinistre est toujours virulent. Plus de 400 personnels de secours sont mobilisés. « 60 personnels spécialisés dans l’intervention héliportée sont attendus de métropole dès ce jeudi matin », indique la préfecture. Les incendies de la Grande Chaloupe et du Piton des Orangers étaient en cours d’extinction.

Pour leur part, attisées par un vent violent, les flammes qui depuis mardi après-midi dévorent le massif du Maïdo dans le secteur du Piton Rouge ont encore progressé hier. Large de 7 km, le front du sinistre a touché 700 hectares de forêt. Ce qui représente presque la même surface que celle brûlée en 12 jours lors de l’incendie d’octobre 2010. 



La tâche des pompiers est particulièrement compliquée par des rafales de vent qui déclenchent plusieurs départs de feu secondaires. En fin d’après-midi, le sinistre se trouvait à une centaine de mètres du pare-feu de Montvert. Trois hélicoptères bombardiers d’eau étaient sur le site ainsi que 6 GIFF (Groupe d’intervention feu de forêt). Les foyers les plus virulents étaient aussi traités par le Détachement d’intervention héliportée (DIH) côté Sud. 



Actuellement, plus de 400 personnels, dont 176 sapeurs pompiers, 61 militaires, 73 agents de l’ONF, 10 agents du Parc national et des gendarmes, sont mobilisés dans la lutte contre le feu. Trois hélicoptères bombardiers d’eau opèrent sur zone et une quarantaine de véhicules de secours incendie sont sur place. « Dès demain matin (jeudi - NDLR), un renfort de 60 personnels arrivera de métropole. Il s’agit de personnels d’intervention héliportée. Ce renfort sera opérationnel en fin de matinée », indique la préfecture. 



Cette arrivée de renfort répond à la demande de la députée-maire de Saint-Paul, Huguette Bello, et à celle du Parc national.

A noter que le préfet a signé un arrêté réglementant l’accès des personnes sur certaines routes forestières. Ainsi, la route forestière du Maïdo, au dessus de l’intersection avec la route forestière des Tamarins, et leurs accès sont fermés jusqu’à nouvel ordre.



Par contre, le relais du Maïdo (luge d’été, tir à l’arc, quad, poney…) reste ouvert et accessible au public puisqu’il se situe en dessous de l’intersection entre la route forestière du Maïdo et la route forestière des Tamarins.


Gonesse : plus de 200 locataires évacués suite à un incendie


Mercredi soir peu avant 23 heures, plus de 200 locataires du quartier de la Fauconnière, à Gonesse (Val-d'Oise), étaient toujours dans la rue après un important incendie. Le sinistre, qui s'est déclaré vers 19h40 au 2e étage au 7 square des Sports, a détruit deux appartements et endommagé trois autres, se propageant par les façades recouvertes d'un bardage de bois.
Trois personnes ont été légèrement intoxiquées par les fumées. Un élu et un représentant du bailleur 3F présents sur les lieux, semblaient hier soir débordés par le nombre de familles à reloger pour la nuit.

Un incendie suivi d'une explosion

Du garage attenant à la maison, il ne reste rien. À peine distingue-t-on la carcasse d'une voiture calcinée. Hier matin, vers 10 heures dans la rue Mencière à Rochefort, les flammes ont entièrement ravagé le local, sans faire de blessé. Un incendie impressionnant racontent les pompiers et les officiers de police, suivi d'une explosion causée par une bouteille de gaz qui se trouvait à l'intérieur.
Le propriétaire, Christian Mompion, 59 ans, vit dans ce pavillon avec son épouse. Hier matin, il était sous le choc : « J'étais en train de bricoler sur ma voiture, et je ne sais pas, il y a dû avoir une étincelle, raconte-t-il. Tout de suite l'incendie a été très fort. J'ai essayé de l'éteindre, mais avec de l'eau, ça ne sert pas à grand-chose, alors j'ai appelé les pompiers. »

Voisins évacués« Quand on est arrivé, le garage était entièrement embrasé, avec une voiture et une bouteille de gaz de 13 kilos à l'intérieur », explique le capitaine Germanaud des sapeurs-pompiers de Rochefort. Ils ont donc pris toutes les précautions nécessaires dues au risque d'explosion. Certains voisins ont été évacués. Quelques minutes après le début de l'incendie, « la bouteille de gaz a explosé, projetant des morceaux de parpaing de l'autre côté de la rue ». Le toit du garage a été soufflé par la déflagration.
Près d'une heure a été nécessaire pour maîtriser l'incendie. Une quinzaine de sapeurs-pompiers étaient sur place. Un camion qui intervient habituellement sur les feux de forêt a même été appelé en renfort. Le commandant Schmitt, chef de colonne de Saintes, s'est également rendu sur les lieux.
L'incendie ne s'est pas propagé au pavillon qui jouxte le garage. « Mais il a été touché par les chaleurs. On a constaté des fissures », précise le capitaine Germanaud. Un expert devrait se rendre rapidement sur les lieux pour déterminer les causes exactes de l'incendie.

mercredi 26 octobre 2011

Vitrolles : Incendie aux Astronautes : 120 personnes évacuées et relogées


Neuf étages de l’Amstrong, une des trois tours dites des Astronautes située au cœur du quartier des Pins à Vitrolles ont été évacués cet après-midi à la suite de l'incendie. Soit 36 appartements et 120 personnes. "Il a été décidé de reloger tous les habitants pour au moins une nuit, annonçait le maire Loïc Gachon. La plupart ont des solutions familiales et amicales, les autres sont accueillis dans des hôtels voisins. Demain après-midi les locataires des sept premiers étages devraient pouvoir réintégrer leurs appartements. C’est seulement après estimation et réparation des dégâts dûs aux coupures EDF et aux dégâts des eaux (NDLR : dû aux lances des pompiers) que les habitants des deux derniers étages pourront à leur tour rentrer chez eux".

C'est un récipient de calendrite qui s’est enflammé sur le chantier d’étanchéité de la toiture du bâtiment. Le feu a été rapidement circonscrit mais les opérations de mise en sécurité de l’immeuble ne doivent s’achever qu’à 21h. L’incendie n’a toutefois fait qu’une seule victime : une personne incommodée par les fumées qui a été transportée à la clinique de Marignane.

Elbach : Une maison ravagée par un incendie


Mercredi, aux environs de 17 h 45, un incendie s’est déclaré dans une maison d’habitation située rue de Reppe à Elbach, dans le Sundgau. Le feu a très vite envahi le rez-de-chaussée et le premier étage avant de gagner les combles et d’atteindre les dépendances qui jouxtaient cette maison à colombages.
Le brasier a créé un panache de fumée visible à des kilomètres. Arrivés rapidement sur place, les sapeurs-pompiers ont immédiatement pris en charge l’occupante des lieux, une femme de 72 ans qui avait pu sortir à temps mais a été légèrement intoxiquée par les fumées. La victime a été transportée à l’hôpital pour examens.
D’importants moyens ont été déployés par les sapeurs-pompiers de Dannemarie, d’Altkirch et de Montreux-Vieux, renforcés par les hommes de Saint-Louis et de Mulhouse. Le commandant Thierry Velachaux, chef de centre des Trois Frontières, dirigeait les opérations.
Un soldat du feu, victime d’une chute dans les escaliers, a été légèrement blessé au cours des opérations. Au total, une quarantaine de pompiers ont été mobilisés et cinq lances ont dû être déployées pour venir à bout du sinistre. L’incendie a été maîtrisé aux environs de 19 h mais les opérations ont duré une bonne partie de la soirée. Une surveillance a également été mise en place pour éviter toute reprise du feu. Au final, la maison a été presque entièrement ravagée par les flammes.
Ses quatre occupants ont été relogés par des membres de leur famille. Hier soir, l’origine du sinistre restait indéterminée. Les gendarmes d’Altkirch et de Dannemarie étaient sur les lieux. Le maire du village, Emmanuel Schacherer, ainsi que le sous-préfet d’Altkirch, Yves Camier, s’étaient également rendus sur place.

Nouvelle Calédonie : Les feux de forêt

Le 24 octobre, quelque 1 550 hectares de forêt et de végétation ont été ravagés par les flammes ces dernières semaines, en Nouvelle Calédonie.

Depuis un mois, la saison des feux de forêt s’intensifie et plusieurs départs d'incendie sont enregistrés chaque jour au Centre opérationnel du haut-commissariat, basé à Nouméa. Issue de métropole, une Mission d’assistance en situation de crise (Masc) est composée de sapeurs-pompiers experts en lutte contre les feux de forêt et d’officiers « Aéro » des services départementaux d'incendie et de secours des Bouches-du-Rhône et des Alpes-Maritimes, mais aussi de sapeurs-sauveteurs. Cette Masc est présente du 15 septembre au 15 décembre sur le territoire et assiste les sapeurs-pompiers locaux engagés au sol, principalement dans la gestion des moyens aériens. Quatre hélicoptères bombardiers d’eau sont loués pour la saison par la Calédonie ainsi que les Provinces nord et sud. Depuis le 15 septembre, ces moyens aériens ont effectué 1 960 largages.

En 2005, la pire année pour la Nouvelle Calédonie, près de 17 000 hectares de forêt et de savane avaient été touchés par le feu.

Vidéo : Columbus Fire #12

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Italie: Neuf morts et cinq disparus dans les intempéries


Des chutes de pluies inhabituellement intenses ont provoqué la mort de neuf personnes et de nombreux dégâts matériels entre mardi soir et mercredi matinen Ligurie (nord) et dans le nord de la Toscane, selon un nouveau bilan des secours diffusé mercredi. En outre, cinq personnes sont portées disparues.
La zone la plus touchée a été le département de La Spezia (Ligurie) où se trouve la localité touristique des Cinque Terre: sept personnes, dont un secouriste, ont péri dans cette région. A Aulla, dans le département de Massa Carrara, une zone montagneuse du nord de la Toscane, deux corps ont été retrouvés, dont celui d'un homme dans sa cave.

Une survivante traînée sur plus d'un kilomètreSelon la préfecture de La Spezia, trois des victimes de Borghetto, une femme de 50 ans et un couple de personnes âgées, ont été entraînées par un fleuve de boue hors de leur maison. Une jeune femme emportée par la coulée de boue a pu se sauver in extremis en s'accrochant à un panier de basket après avoir été traînée sur plus d'un kilomètre. Les secours l'ont retrouvée deux heures plus tard, épuisée et en état de choc.
«La situation est dramatique, d'autant plus que nous sommes sans nouvelles de quelques zones isolées», a mis en garde la responsable de la protection civile en Ligurie, Renata Briano. Selon le chef national de la protection civile, Franco Gabrielli, «la priorité en ce moment est l'assistance à la population avant la tombée de la nuit». Il faut aussi «rétablir au plus vite les services essentiels: dans certaines zones, il n'y a ni électricité, ni eau, ni gaz et les communications sont difficiles», a-t-il ajouté.
Plusieurs localités restaient isolées mercredi alors que la pluie avait cessé et que le front orageux se déplaçait progressivement vers le sud-ouest de la péninsule. Selon les services météorologiques, de 200 à 500 millimètres de pluie sont tombés en quelques heures, faisant déborder rivières et torrents, détruisant de nombreux ponts et provoquant des glissements de terrains et des coulées de boue dans plusieurs villages. Une grosse portion de l'autoroute A12 entre Gênes (Ligurie) et Livourne (Toscane) restait fermée à la circulation mercredi ainsi que certaines lignes ferroviaires.
«Tout s'est produit en quelques minutes, c'est hallucinant»Deux touristes étrangers considérés dans un premier temps comme disparus ont été retrouvés sains et saufs. Les habitants des villages de Borghetto Vara et Brugnato ont reçu l'assistance des frères d'un couvent proche qui a accueilli une trentaine de personne, les a nourris et leur a fournis des vêtements secs. Les secours ont eu beaucoup de difficultés à travailler, en raison de la violence des averses et de coupures des systèmes téléphoniques et électriques.
«Tout s'est produit en quelques minutes, c'est hallucinant», a indiqué un responsable local de la protection civile, à propos de l'énorme coulée de boue qui a dévasté le village d'Aulla, où 300 personnes ont trouvé refuge pour la nuit dans un gymnase. A Rome, où les autorités avaient lancé une alerte et se préparait au pire, les averses ont été beaucoup moins violentes qu'annoncé. Le maire Gianni Alemanno a confirmé que la situation était «très différente de celle du 20 octobre, 40 mm de pluie prévue en 6 à 8 heures contre 120 en trois heures».

Vidéo : un documentaire des pompiers de Détroit


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Incendie d'un squat de Roms : Un corps calciné retrouvé


Un corps calciné non identifié a été retrouvé mardi soir dans les décombres d'un hangar désaffecté de Paris où vivaient une centaine de Roms, détruit la veille par un incendie. Le corps a été découvert par les pompiers qui déblayaient toujours les lieux, une ancienne cartonnerie de la rue des Pyrénées et dans laquelle s’étaient installés 114 Roms dont 43 enfants, en octobre 2010, selon la mairie.

Deux personnes ont été légèrement blessées dans le feu, dont un militaire de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris intervenue très rapidement. Le parquet de Paris avait saisi dès la matinée le deuxième district de la police judiciaire (DPJ) de Paris qui devra notamment vérifier le témoignage d'une personne qui affirme avoir vu « des individus jeter des cocktails molotov », a expliqué une source proche du dossier.

Source http://www.francesoir.fr

Australie : un feu de forêt fait des ravages

Un feu de broussaille qui s'est propagé sur des dizaines d'hectares dans les Blue Mountains, situées à côté de Sydney, a provoqué l'évacuation de plusieurs habitants et la fermeture d'une école.

Vuillafans (25) : Important feu de forêt et de friches

Un important feu de végétations est en cours d'extinction sur le secteur de Vuillafans (25), les moyens humains et matériels engagés sont importants pour combattre ce sinistre qui decime arbres et vegetations depuis 15h45.

Une Quarantaine de sapeurs pompiers venus de tout le département (Secteur Baume et Montbéliard) sont sur place. L'hélicoptère de la sécurité civile DRAGON 25 a également été dépêché pour des reconnaissances.

Réunion : Les hauts de l’Ouest à nouveau en feu


Depuis hier après-midi, les pompiers luttent à nouveau contre un incendie de grande ampleur, entre le Maïdo et le Grand Bénare. Ils empêchaient hier soir le feu de descendre vers la route forestière des Tamarins. Entre 200 et 300 hectares seraient déjà partis en fumée, en une demi-journée, soit le quart de la superficie détruite en douze jours il y a un an à peine.

L’épaisse fumée était visible de très loin dans l’Ouest, depuis le milieu d’après-midi. La première alerte est donnée aux environs de 15h. Les pompiers ne perdent pas de temps et mobilisent des moyens importants. Plusieurs foyers se sont déclarés simultanément dans les hauts de l’Ouest. A 18h, on en dénombre trois, entre la forêt du Tévelave et le Piton Rouge, situé dans la forêt domaniale des Bénares. Trois communes sont donc concernées : Saint-Leu, Trois-Bassins et Saint-Paul, au niveau du Maïdo. Là où 800 hectares de végétation sont partis en fumée l’année dernière. Les hélicoptères bombardiers d’eau ont commencé leur balai entre les points d’eau et la forêt. Dur anniversaire pour les 120 soldats du feu qui ont dû passer la nuit dernière sur place. On parle d’abord de 60 hectares de végétation partis en fumée, en début de soirée. Une heure plus tard, les estimations sont revues à la hausse. Entre 200 et 300 hectares seraient touchés. Le feu avance donc trois fois plus vite que le dernier incendie. Il progresse vers l’Ouest.

Le vent, l’ennemiLes agents de l’Office national des forêts (ONF) ouvrent la voie aux soldats du feu. Ces derniers ont surtout peur que le feu "saute" la route forestière des Tamarins, pour descendre la pente. "Le front de flammes s’étire sur cinq kilomètres, explique le commandant Jean-François Murcy. On attend sept groupes d’intervention feux de forêts (GIFF, ndlr) cette nuit pour empêcher le feu d’avancer et protéger le gîte des Tamarins". C’était la principale mission de la nuit dernière. Un peu plus au nord, des équipes font face au feu au niveau de la piste Alfred. Un autre foyer, plus petit et isolé, est combattu au niveau du piton des Orangers (secteur du Maïdo). Un poste de commandement a été installé sur place. "Les pompiers doivent faire face à un vent particulièrement fort", rajoute le commandant Henri-Claude Pothin, chef de groupement territorial en charge des opérations. Un vent que les pompiers ont appris à combattre : "Demain (ce matin, ndlr), on a prévu d’aller dans le secteur Est afin d’empêcher le feu de passer du côté des remparts du Grand Bénare, là où les vents sont changeants". Si les flammes atteignent cette zone, la situation serait alors bien plus difficile à gérer. Des hélicoptères bombardiers d’eau étaient donc attendus, dès le lever du jour. Ainsi qu’un détachement d’intervention héliporté (DIH). Une équipe, nouvellement créée suite à l’incendie de l’an dernier, et capable d’intervenir sur les sites difficiles d’accès. On ne parle pas encore du renfort d’un Dash 8 pour "inonder" la zone en flammes. L’armée est en tout cas attendue aujourd’hui, tout comme le renfort de 60 ouvriers de l’ONF


- La route forestière du Maïdo au-dessus de l’intersection avec la route forestière des Tamarins et la route forestière des Tamarins ainsi que les sentiers qui parcourent le massif des hauts de l’ouest (à l’exception du sentier de Roche-Plate) sont fermées jusqu’à nouvel ordre.

“Il est trop tôt pour envisager l’intervention du Dash 8” C’est la réponse du colonel Jacques Vandebeulque à une question de nos confrères d’Antenne Réunion sur l’éventuel renfort du Dash 8, cet avion capable de larguer des tonnes d’eau sur la forêt en flammes. Le responsable du Service départemental de secours et d’incendie a mis en avant la mobilisation de moyens beaucoup plus importants que lors du dernier incendie, dès les premières heures. On ne parlait alors que de 60 hectares de végétation touchée…

Un an après, l’histoire se répète Le feu avait pris dans la matinée du lundi 11 octobre. Une trentaine de sapeurs-pompiers sont mobilisés sur deux départs de feu au Maïdo. Mais les conditions climatiques et la configuration du terrain rendent difficiles les opérations. À la fin de la première journée, 20 hectares sont partis en feu. Deux jours plus tard, les autorités dénombrent 200 hectares consumés. Les moyens humains ont largement été revus à la hausse : 250 personnes, pompiers, agents ONF, du parc des hauts et gendarmes sont mobilisés. Mais comme pour ce nouvel incendie, le vent ne leur facilite pas la tâche. Le lendemain, ce sont plus de 350 hectares qui sont déjà partis en fumée. Soixante pompiers des formations militaires de la sécurité civile viendront en renfort, puis le "super" Dash 8, neuf jours plus tard, alors que plus de 700 hectares de végétation ont été touchés. L’incendie sera alors progressivement sous contrôle. Douze jours et plusieurs rotations plus tard, le feu est éteint. Plus de 800 ha de forêts ont brûlé au total.

Deux hectares brûlés à la Grande Chaloupe Un autre incendie s’est déclaré au niveau du chemin des Anglais, à la Grande Chaloupe, côté Possession. Un groupe d’intervention feux de forêt composé de huit hommes ont été mobilisés ainsi qu’un hélicoptère bombardier d’eau. Près de deux hectares sont hier partis en fumée. Les pompiers restent vigilants craignant une reprise du feu avec le vent, s’il reste aussi fort que pendant la journée d’hier.

MEUSE : UN COUPLE DÉCÈDE DANS UN CHOC FRONTAL


Il était 10 h 15 environ quand les pompiers de Stenay ont été appelés. Sur la départementale 964 qui relie Dun à Stenay en passant par Mouzay, un terrible choc entre un poids lourd et un véhicule léger venait de se produire, à hauteur de la commune de Sassey. Le camion et son conducteur d’origine hollandaise transportaient des bidons d’huile qu’il devait aller livrer du côté de Bras-sur-Meuse et roulaient dans le sens Stenay-Dun. Sur la voie opposée, un couple de Luxembourgeois domiciliés à Vilosnes-Haraumont, village situé à quelques kilomètres de Sassey, arrivait en sens inverse.

Difficile de savoir ce qu’il s’est exactement passé quand le camion et la voiture sont arrivés à la même hauteur. Le point d’impact a, semble-t-il, eu lieu sur la voie de circulation du poids lourd. Pour une raison encore indéterminée, le conducteur de la voiture se serait déporté vers la voie opposée pour aller taper l’avant du poids lourd. Le choc, terriblement violent, a été fatal. Les deux occupants du véhicule, Richard et Silvia Kmiotek, des septuagénaires luxembourgeois originaires d’Esch-sur-Alzette, sont morts sur le coup. Le conducteur du camion quant à lui, a été choqué et transporté vers le centre hospitalier de Verdun. Selon la procédure, des prélèvements toxicologiques ont été effectués sur les deux victimes, qui ont été elles aussi transportées vers l’hôpital de Verdun où un examen des corps sera pratiqué par le médecin légiste. Cet examen pourrait notamment permettre de savoir si le conducteur, âgé de 79 ans, a été victime d’un malaise avant le choc frontal avec le poids lourd.

Sur place, les gendarmes de la communauté de brigade de Montmédy et de la brigade des recherches de Verdun avec l’appui des techniciens en investigation criminelle ont effectué les premières constatations. Yves Le Clair, procureur de la République de Verdun, s’est également rendu sur le lieu de l’accident. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de cet accident. Une douzaine de pompiers venus de Dun et Stenay, sous les ordres du capitaine Harteman, sont arrivés les premiers sur place pour prendre en charge les victimes et, notamment, désincarcérer la passagère du véhicule. Au moment du choc, le réservoir du camion a été percé. Pour éviter tout risque de pollution dans les champs voisins, les pompiers ont vidé le gasoil dans une petite citerne, et protégé l’accès au champ avec un tas de sable.

La circulation sur la portion de la D964 allant de Sassey à Mouzay a été coupée une bonne partie de la journée, le temps notamment, de dégager le camion de la chaussée.

mardi 25 octobre 2011

USA : Vidéo : incendie mortel

Suisse : Yverdon VD : Grosse Explosion dans un immeuble


Mardi 25 octobre 2011, à 13h38 la Centrale d’engagement et de transmission de la Police cantonale vaudoise a été informé qu’une forte explosion venait de se dérouler dans un immeuble de la rue de Neuchâtel à Yverdon-les-Bains. Les services d’urgence se sont rapidement rendus sur les lieux. Les pompiers ont procédé à l’extinction de l’incendie qui a démarré dans l’appartement du 4ème étage où s’est produit l’explosion. Tous les locataires de l’immeuble ont été évacués et pris en charge par le dispositif sanitaire. Les policiers ont procédé à l’identification et la localisation de tous les habitants de l’immeuble.

Dans le cadre des recherches effectuées en fin d’après-midi dans l’appartement sinistré, les intervenants ont découvert le corps sans vie d’une personne dans les décombres de l’appartement du 4ème étage. En fin de journée, la victime n’avait pas pu être identifiée.

Le dispositif sanitaire composé de médecins, d’infirmiers, d’ambulanciers et de sanitaires a pris en charge 14 personnes blessées légèrement dont 9 ont été acheminées dans les hôpitaux d’Yverdon-les-Bains et de St-Loup pour des contrôles. Les personnes évacuées ont été prises en charge par l’organisation régionale de protection civile d’Yverdon-les-Bains, dans l’abri de l’Ecole d’ingénieur du Nord vaudois. Plusieurs représentants de la Municipalité d’Yverdon-les-Bains, dont le Syndic M. de Siebenthal, se sont rendus sur place pour témoigner de leur soutien à la population sinistrée.

Les effets de l’explosion sont considérables tant au niveau de l’immeuble sinistré que des habitations alentours. De nombreuses vitres ont été soufflées et des véhicules se trouvant dans la rue ont subi des dommages à la suite de la projection de gravas.

Les causes de l’explosion n’ont pas encore été établies pour l’instant. Les spécialistes du groupe incendie et de l’identité judiciaire de la police de sûreté poursuivront leurs investigations dans les jours à venir afin de déterminer les circonstances et les causes de cette explosion.

Cet événement a nécessité la mise en place d’un très important dispositif, comptant quelque 120 hommes et femmes, coordonné depuis un poste de commandement dirigé par les pompiers sur le site même de l’explosion.

Dispositif Feu
40 pompiers
14 véhicules
SDIS d’Yverdon-les-Bains
SDIS d’Yvonand
SDIS de Grandson
SDIS d'Orbe

Dispositif Sanitaire
28 personnes
Groupe d’appui sanitaire (GASS) - 10 personnes
Véhicule de Soutien Sanitaire Nord vaudois
Détachement du poste médical avancé (DPMA Lausanne du SPSL/Groupe sanitaire) - 10 personnes et 2 véhicules (commandement, Transport de personnes)
4 ambulances
SMUR d'Yverdon-les-bains

Dispositif Policier
10 Gendarmes
10 Agents de la police municipale d'Yverdon
5 Inspecteurs de la police de sureté

Dispositif de soutient
Protection civile de l’ORPC d’Yverdon-les-Bains - 20 Personnes
Plusieurs spécialistes des différents services communaux sont également intervenus sur place pour collaborer avec les intervenants

Réunion : Le Maïdo en feu

Depuis 15 heures cet après-midi, un énorme incendie ravage la végétation sur la route forestière entre le Maïdo et le Tévelave. Pas moins de quatre départs de feu ont été localisés, au Piton Rouge, au Grand Bénard, au Tévelave et à Ilet Alcide. Des flammes gigantesques détruisent la nature et une impressionnante colonne de fumée s’élève dans le ciel. Quelques jours seulement après le premier anniversaire de l’incendie du Maïdo, ce dramatique scénario semble se répéter. Les soldats du feu sont confrontés à plusieurs difficultés : le fort vent qui contribue à propager les flammes et le terrain escarpé. 

Le spectre de l’incendie du Maïdo en octobre 2010 qui avait mobilisé les soldats du feu pendant plus de dix jours plane au dessus de la Réunion ce mardi. Cet après-midi, un peu plus d’un an après cet incendie dévastateur, plusieurs feux se sont déclarés sur la route forestière allant du Maïdo au Tévelave. Piton rouge, Grand Bénard, Tévelave et Ilet Alcide, quatre foyers ont été localisés simultanément. Le feu a pris aux frontières de la zone déjà ravagée en 2010 et le vent pousse les flammes vers les parcelles de forêt qui avaient pu être sauvées l’année dernière. 


Sur place, les pompiers de Saint-Paul luttent avec les flammes. Des renforts ont été envoyés devant l’ampleur de l’incendie. Le vent est extrêmement défavorable au travail des pompiers et propage rapidement les flammes. Plusieurs dizaines d’hommes, 6 camions et deux hélicoptères sont à pied d’oeuvre pour maîtriser l’incendie. Une équipe du DIH (Détachement incendie héliporté) est également mobilisée sur place. Des flammes de plusieurs mètres sont visibles à plusieurs centaines de mètres et une épaisse fumée grise s’élève du sommet du Maïdo.

En 2010, près de 800 hectares de nature avaient été réduits en cendres par un énorme incendie qui avait détruit la forêt pendant plus de dix jours. Même si la piste criminelle avait été privilégiée, l’enquête avait dû être clôturée faute de preuves.

Auch. Feu dans la vieille ville : le drame évité de justesse


Des voitures stationnées dans le vieil Auch ont empêché les pompiers d'approcher leurs véhicules au plus près d'un immeuble qui a pris feu hier, à minuit 25, rue Daumesnil : un couple avec 3 enfants se retrouve sans rien.

Mohamed promenait son chien avec un ami quand ils ont levé la tête et aperçu des flammes au deuxième étage de l'immeuble situé 26 rue Daumesnil, dans la nuit de dimanche à lundi. Une heure après les faits, Mohamed consulte son portable, juste derrière un camion de pompiers gêné par des voitures en stationnement, à 50 mètres du brasier. « J'ai appelé les secours à 0 h 27. » À côté de lui, une bénévole de Circa est formelle. « Je suis passée un quart avant, il n'y avait rien. »

Tout est donc allé très vite dans l'appartement inoccupé d'où est parti l'incendie, rue Daumesnil. Heureusement, les policiers, qui ont reçu un appel 17, sont arrivés en une minute sur les lieux. A cinq, ils ont frappé à toutes les portes, demandant à tous les habitants de sortir de chez eux.

Au 6 rue des Pénitents bleus, une dame de 92 ans intoxiquée par les fumées a ainsi pu trouver refuge chez un voisin en attendant que sa fille vienne la chercher de Lasseube-Propre. Son appartement donnait sur l'escalier du 26 rue Daumesnil. Escalier qui a permis au feu de monter jusqu'à la toiture via les murs en bois et torchis. « ça flambe comme des allumettes », relève le capitaine Bernier au retour d'une reconnaissance avec le colonel Barthet, tandis que 35 soldats du feu venus des casernes d'Auch, Pavie, Fleurance et Seissan s'attachent à éviter la propagation aux immeubles voisins.

À quelques mètres de là, Laetitia Villemagne est assise sur le trottoir avec le cadet de la famille dans les bras, et son fils aîné, en chaussettes, à ses côtés. Dominique Morisset, son compagnon, porte le petit dernier, âgé de 3 mois. Les larmes montent. Le toit s'est déjà effondré jusqu'au plancher du deuxième, juste en dessus de leur appartement. Les pompiers ont prévenu. Rien ne sera récupérable au premier. Maurice Salles, l'adjoint au maire, se démène au téléphone pour les reloger en urgence tandis que des policiers les conduisent au commissariat pour se réchauffer. En pleine nuit, l'association Regar fait appel à ses relations au Lion d'or qui accorde ses deux dernières chambres à la famille sinistrée.

À 2 heures, le feu est circonscrit. Quatorze personnes qui attendaient que les bâtiments voisins soient sécurisés commencent à regagner leur domicile à 3 h 30 sous la protection des pompiers. La nuit a été courte. Mais ça aurait pu être pire. « Respectez les places de stationnement, indique le capitaine Bernier au petit matin. Un jour, il y aura un drame à cause de ça dans ces rues étroites. » Maurice Salles enfonce le clou : « Deux voitures ont bloqué les pompiers à l'angle de la rue Charras. Il faudrait que les gens comprennent que les secours doivent pouvoir passer partout dans la vieille ville. Tout le monde est susceptible d'avoir besoin d'eux un jour ou l'autre. Ceux qui l'oublieraient doivent savoir que les AVSP sont habilités à verbaliser les contrevenants. »

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Saint-Nicolas-du-Pélem : Une maison détruite par le feu

Le feu a entièrement ravagé une maison d’habitation au lieu-dit Kerpage, à Saint-Nicolas-du-Pélem, à 6 h lundi matin. Les pompiers de Saint-Nicolas, Corlay et le chef de groupe de Quintin ont circonscrit l’incendie. Les dégâts sont importants. Le propriétaire de la maison était absent. Les causes de l’incendie ne sont pas déterminées.


Nantes : Important incendie cette nuit en plein centre


Un incendie s'est déclaré la nuit dernière, aux environs de minuit, au 20, rue du Calvaire à Nantes. Le feu a pris dans un appartement situé dans les combles, dont l’occupant était absent à ce moment-là.

36 personnes ont été évacuées et 23 personnes ont été relogées par la mairie. Une personne, légèrement intoxiquée, a été évacuée vers le CHU de Nantes.

Les policiers et les experts sont à l’œuvre pour tenter de déterminer l’origine du sinistre. La toiture du bâtiment a été entièrement détruite.

DOUBLE ACCIDENT MORTEL EN LORRAINE CE MATIN

Un accident mortel s'est produit ce matin vers 10 h 45 sur la D964 entre Dun-sur-Meuse et Mouzay, dans la Meuse. L'accident a impliqué un poids-lourd et une voiture. Le choc a été très violent. Les deux occupants de la voiture, sont morts tous les deux sur le coup.

On en sait davantage sur le tragique accident qui a fait deux morts ce matin à Dun sur Meuse, en Lorraine.

Les deux véhicules roulaient tranquillement sur la D 964, lorsque pour une raison indéterminée, la voiture légère s'est déporteé pour entrer en collision frontale avec un poids lourd hollandais qui transportait des bidons d'huile vers Bras sur Meuse. On ne sait pas si le conducteur, un homme né en 1932, domicilié avec son épouse à Vilosnes, dans le nord meusien, a fait un malaise ou s'il a commis une faute d'inattention.

Toujours est - il que les malheureux, originaire d'Esch sur Alzette au Luxembourg, ont été tués sur le coup. Des examens toxicologiques vont être pratiqués sur les corps cet après - midi par le médecin légiste de Verdun pour déterminer si l'octogénaire avait fait usage de substances alccolisées ou de stupéfiants.

A l'issue du choc, le résevoir du camion a explosé et les pompiers ont dû s'employer pour éviter qu'une pollution se développe dans les champs voisins. Les opérations de levage du camion risquent de prendre une bonne partie de l'après - midi. La circulation sur la D964, axe routier très fréquenté, devrait être compliquée dans les heures qui viennent.

Paris : Incendie dans un squat de Roms


Le parquet de Paris a saisi la police judiciaire pour une enquête en flagrance sur l'incendie dans la nuit de lundi à mardi d'un hangar désaffecté du 20e arrondissement de Paris où s'étaient installés une centaine de Roms, dont 43 enfants. L'incendie a fait deux blessés légers, dont un militaire de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris intervenue très rapidement, selon un voisin et la Ville de Paris. Les enquêteurs du deuxième district de la police judiciaire (DPJ) de Paris tenteront de vérifier le témoignage d'une personne qui affirme avoir vu "des individus jeter des cocktails Molotov", a expliqué une source proche du dossier.

Sans préjuger de l'origine accidentelle ou criminelle du sinistre, la Ville de Paris explique dans un communiqué qu'elle "devait faire évacuer ce site suite à une décision de justice, obtenue il y a quelques semaines". Le Collectif contre la xénophobie a affirmé que des "individus en cagoule (avaient) attaqué la Maison des Roms (...) à coups de cocktail Molotov", rue des Pyrénées, où vivaient "illégalement" selon la mairie "114 personnes, dont 43 enfants". "Ces hangars, qui abritaient une centaine de Roms depuis près d'un an, ont flambé et se sont effondrés. Tous les habitants ont pu sortir à temps. Un d'entre eux est à l'hôpital", a poursuivi le collectif dans un communiqué, faisant état de menaces récentes proférées par de "prétendus voisins". Le hangar sinistré est une ancienne cartonnerie, désaffectée depuis plusieurs années et où des Roms se sont installés en octobre 2010, selon le voisinage.

"Cela a été très vite"Evacuées, les familles "ont été accueillies à la mairie du 20e arrondissement et, grâce à la mobilisation des services municipaux, la très grande majorité a pu bénéficier d'un hébergement d'urgence" dans la nuit, selon le communiqué de la mairie. Les services municipaux vont désormais "proposer des solutions d'accompagnement" aux Roms, "en lien avec la préfecture de Paris". Éducateur spécialisé qui suivait des enfants du squat depuis février, Guillaume, de l'association "Harissa sauce", explique que l'eau et l'électricité avaient été installées par la mairie et que le hangar avait été aménagé pour offrir "un peu d'intimité" aux habitants. "C'était très propre, ils entretenaient eux-mêmes les toilettes", selon l'éducateur. "À 21 h 10, on a entendu des cris. Il y a souvent des cris, souvent des bagarres. Dix minutes plus tard, les pompiers sont arrivés. Ils nous ont évacués", a raconté un homme vivant dans l'immeuble voisin du hangar, Gilles Ferros.

Rue des Pyrénées, de l'autre côté de la rue, une trentaine de Roms sont revenus mardi matin, souhaitant récupérer quelques effets personnels, mais étaient empêchés d'entrer sur le site pour des raisons de sécurité. "Cela a été très vite", raconte l'un d'eux, Nicolaï, l'un des rares à s'exprimer en français, qui ne souhaite pas donner son nom. Expliquant que le sinistre était parti de l'arrière du bâtiment, il exclut que le sinistre provienne d'un problème électrique : "Quand le feu est parti, l'électricité fonctionnait toujours", affirme-t-il. L'enquête de flagrance facilite une réaction rapide de la police judiciaire. Elle peut durer huit jours, délai qui peut être doublé.

Plusieurs installations précaires de Roms ont été la proie des flammes cette année en Ile-de-France : à Orly (Val-de-Marne) à deux reprises en janvier et en avril, à Bobigny en février et porte de la Villette à Paris en juillet. En février 2011, un homme d'une cinquantaine d'années était décédé dans l'incendie d'un camp rom à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). En février 2010, une fillette de 15 mois et son frère de 3 ans avaient péri dans l'incendie d'un camp de Roms, toujours à Orly.

A16 : une fillette de 13 ans grièvement blessée dans un accident près de Conchil-le-Temple

Ce mardi, vers 16 heures, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule sur l'autoroute A16, dans le sens Paris-Boulogne.
Peu avant l'aire de repos de la Commanderie, à hauteur de Conchil-le-Temple, sa voiture a fait au moins un tonneau avant de s'immobiliser au milieu de la chaussée. Une fillette de 13 ans, qui se trouvait à bord, a été grièvement blessée. Elle a été transportée par hélicoptère au centre hospitalier de Lille. Le conducteur, âgé de 46 ans, et deux autres enfants qui se trouvaient à bord ont été conduits à l'hôpital de Rang-du-Fliers pour passer des examens de contrôle.
L'autoroute a été temporairement coupée dans le secteur de l'accident, ce qui a provoqué plusieurs kilomètres de ralentissement. La circulation a ensuite été rétablie sur une voie, avant un retour à la normale vers 18 h 15.

Orages : le ciel est tombé sur Sanary-sur-Mer

Réveil douloureux mardi pour les habitants de certains quartiers de Sanary-sur-Mer : une mini-tornade s'est abattue tôt le matin sur la ville. Bilan : aucun blessé, mais des dégâts spectaculaires - toits endommagés, arbres arrachées, voitures écrasées. Les traces du passage de la mini-tornade étaient perceptibles jusqu'à la Seyne-sur-Mer.

Alors que de fortes intempéries accompagnées d'orages violents s'abattaient sur tout le département du Var, placé en vigilance orange par Météo-France, un train TER assurant la liaison Hyères-Marseille, avec une centaine de passagers à bord, a en outre été frappé par la foudre à 7h40, alors qu'il allait arriver à Bandol. Là encore, plus de peur que de mal : il n'y a pas eu de blessés parmi les passagers qui ont tous été pris en charge à bord de bus mis à leur disposition par la SNCF.

Des précipitations violentes près de la frontière varoise

L'incident a toutefois provoqué l'interruption totale du trafic TER et grandes lignes pendant trois heures entre Hyères et Toulon, une caténaire ayant été endommagée sur plusieurs centaines de mètres. Le trafic a ensuite été rétabli sur une seule voie mais restait perturbé entre Aubagne et Toulon en début d'après-midi, avec des retards pouvant atteindre une heure. Selon la direction régionale de la SNCF, le retour à la normale est envisagé "mardi en début de soirée ou mercredi matin".

Le pire de l'épisode orageux semble toutefois passé pour le Var, tout comme pour les Alpes-Maritimes : ces deux départements étaient les deux derniers concernés par l'alerte orange aux orages lancée la veille par Météo France, et qui avait concerné jusqu'à cinq départements. Désormais, l'alerte est définitivement levée, après une série de précipitations violentes, qui ont pu atteindre, selon Météo France, les 70-90 mm à l'est d'une ligne Marseille-Vauvenargues, et ponctuellement jusqu'à 100 mm près de la frontière varoise.


Luxeuil : Un pavillon en feu

Un important incendie a endommagé un pavillon de Luxeuil-les-Bains. Le propriétaire de la maison, intoxiqué par les fumées à du être hospitalisé
Il était 13h45, hier, lorsque l’alerte a été donnée. Un incendie s’est déclaré dans un pavillon situé 30, Allée des Romains à Luxeuil-les-Bains.
Rapidement sur place avec d'importants moyens, les sapeurs-pompiers Luxoviens sous les ordres du commandant Faure sont face à un feu de sous-sol s'étant propagé au rez-de-chaussée et à une partie de la toiture. "A notre arrivée, le garage était totalement embrasé, le feu était d'une très grande intensité avec un fort rayonnement, il y avait également un important risque dû à la présence de plusieurs bouteilles de gaz " nous indiquait sur place le chef de colonne, responsable de l'intervention. Pas moins d'une trentaine d’hommes du feu des centres de secours de Luxeuil, Vesoul et Fougerolles ont été nécessaires pour circonscrire l'incendie.
Trois lances ont été mises en place pour venir a bout du sinistre en une heure environ.
L'un des habitant de la maison, un homme de 70 ans, intoxiqué par les fumées a du être évacué sur les urgences du centre-hospitalier de Luxeuil.
Le sous-sol de l'habitation ainsi que la garage ont été totalement détruits par le sinistre, le reste de l'habitation a également subi d'importants dégâts, dû notamment aux fumées et à l'eau ce qui la rend inhabitable. Les occupants seront relogés chez la famille.
L'origine du sinistre n'est pas encore connue d'après les gendarmes sur place, mais tout laisse a penser que le feu serait d'origine accidentelle.
Le maire de la commune ainsi que les services de ErDF et GrDF étaient sur les lieux.

Villers-le-Lac (25) Verglas mortel dans le haut Doubs

Un automobiliste suisse a succombé à ses blessures après avoir été percuté par la voiture d’un frontalier.L’accident s’est produit peu avant 6 h ce lundi matin, à proximité du poste frontière du Col de France sur le territoire de la commune de Villers-le-Lac. Un automobiliste suisse de 54 ans, originaire de Neuchâtel, se dirigeait vers la frontière lorsque son véhicule a dérapé sur une plaque de verglas pour venir percuter un mur au bord de la chaussée. Un choc sans gravité puisque le quinquagénaire a pu sortir de l’habitacle afin de donner l’alerte. Mais une autre voiture conduite par un ouvrier frontalier de 42 ans arrivait à l’instant même où il se trouvait sur la chaussée. Surpris lui aussi, ce conducteur aurait à son tour perdu le contrôle de sa voiture pour venir percuter le piéton. Très grièvement blessé il n’a pas survécu.

lundi 24 octobre 2011

VERDUN : FEU D'APPARTEMENT, DEUX PERSONNES HOSPITALISÉES


Un incendie s'est déclaré vers 13 heures dans un appartement de la rue de Rû à Verdun. Le feu a pris au 3e étage du 4 bis. Tous les locataires ont été évacués et personne n'a été blessé. Deux personnes ont néanmoins été conduites à l'hôpital après avoir respiré de la fumée.
L'origine de l'incendie serait visiblement accidentel. Les dégâts semblent assez importants dans l'appartement touché, ceux situés en dessous ont également été impactés suite à l'extinction du sinistre.