Il aura fallu, hier, une centaine de sapeurs appuyés par des moyens aériens pour arriver à maîtriser le sinistre
Par chance le mistral avait calé. N'ajoutant pas une difficulté supplémentaire aux pompiers déjà aux prises avec des éléments naturels peu favorables. Hier vers 12 h 50, un incendie s'est déclaré au pied de Beauregard. Un feu balayé par un léger vent soufflant à 30 km/h. Malgré cela, il aura fallu une centaine de sapeurs appuyés par des moyens aériens pour arriver à maîtriser le sinistre.
Des pompiers venus des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse au sol, d'autres spécialement formés, hélitreuillés sur les crêtes de la colline, renforcés par des sapeurs-forestiers et dans les airs par trois hélicoptères bombardiers et 4 Canadair. Les pompiers avaient deux soucis hier après-midi.
Stopper le feu qui, s'il avait progressé aurait pu s'approcher de Sénas par le massif des Alpilles, et préserver le camping de la Vallée Heureuse. "Les flammes étaient à deux cents mètres, c'est pourquoi nous avons décidé de le faire évacuer" précisait le lieutenant-colonel Jean-Louis Ferres.
Le feu était maîtrisé à 16 heures, mais les pompiers n'en avaient pas pour autant terminé. Hier soir, ils s'apprêtaient à passer la nuit pour parer à d'éventuelles reprises toujours possibles. Quant aux campeurs, ils devaient regagner leur gîte vers 17 heures. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes de ce sinistre.
Par chance le mistral avait calé. N'ajoutant pas une difficulté supplémentaire aux pompiers déjà aux prises avec des éléments naturels peu favorables. Hier vers 12 h 50, un incendie s'est déclaré au pied de Beauregard. Un feu balayé par un léger vent soufflant à 30 km/h. Malgré cela, il aura fallu une centaine de sapeurs appuyés par des moyens aériens pour arriver à maîtriser le sinistre.
Des pompiers venus des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse au sol, d'autres spécialement formés, hélitreuillés sur les crêtes de la colline, renforcés par des sapeurs-forestiers et dans les airs par trois hélicoptères bombardiers et 4 Canadair. Les pompiers avaient deux soucis hier après-midi.
Stopper le feu qui, s'il avait progressé aurait pu s'approcher de Sénas par le massif des Alpilles, et préserver le camping de la Vallée Heureuse. "Les flammes étaient à deux cents mètres, c'est pourquoi nous avons décidé de le faire évacuer" précisait le lieutenant-colonel Jean-Louis Ferres.
Le feu était maîtrisé à 16 heures, mais les pompiers n'en avaient pas pour autant terminé. Hier soir, ils s'apprêtaient à passer la nuit pour parer à d'éventuelles reprises toujours possibles. Quant aux campeurs, ils devaient regagner leur gîte vers 17 heures. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes de ce sinistre.
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