Pendant que la victime, hospitalisée au CHU, lutte, l’enquête de la Sûreté urbaine a commencé. Le parquet de Nancy va ouvrir, dans les heures qui viennent, une information judiciaire pour faire toute la lumière sur les circonstances de cet accident.
Les sapeurs-pompiers, camarades de la victime, veulent eux aussi comprendre ce qui lui est arrivé. Ceux qui sont intervenus lundi dans l’entreprise Seveal, où une alarme incendie s’était déclenchée, ont été entendus par les policiers de la Sûreté urbaine pour reconstituer le déroulement des opérations. Tout le matériel d’intervention a été saisi pour expertise. « On sait que l’équipe progressait difficilement dans la mousse particulièrement dense, sans son, ni visibilité », a indiqué le substitut chargé du dossier.
A-t-elle été victime d’un malaise, a-t-elle inhalé une substance toxique, a-t-elle été victime d’un défaut d’approvisionnement en oxygène avec son appareil respiratoire ? Pourquoi était-elle détachée du fil d’Ariane, cette corde qui reliait entre eux les trois pompiers partis en mission de reconnaissance dans la mousse ?
Masque déplacé
Autant de questions qui sont, pour l’heure, sans réponse. Retrouvée par l’équipe de sécurité inanimée dans le couloir qui menait au local que le trio devait vérifier, la jeune femme a été très rapidement évacuée. Son masque était déplacé, mais c’est peut-être pendant la manœuvre d’évacuation qu’il a glissé. Rien n’est exclu.
Hier, la mousse était encore très haute dans le local contenant des produits chimiques et phytosanitaires. Il faudra encore attendre un peu pour savoir si l’alarme s’est déclenchée pour un véritable début d’incendie ou si c’était une fausse alerte.
Source : Le Républicain Lorrain
Autant de questions qui sont, pour l’heure, sans réponse. Retrouvée par l’équipe de sécurité inanimée dans le couloir qui menait au local que le trio devait vérifier, la jeune femme a été très rapidement évacuée. Son masque était déplacé, mais c’est peut-être pendant la manœuvre d’évacuation qu’il a glissé. Rien n’est exclu.
Hier, la mousse était encore très haute dans le local contenant des produits chimiques et phytosanitaires. Il faudra encore attendre un peu pour savoir si l’alarme s’est déclenchée pour un véritable début d’incendie ou si c’était une fausse alerte.
Source : Le Républicain Lorrain
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez mettre un commentaire en lien avec cet article.
Tout commentaire hors sujet ou ayant un caractère qui sera jugé mal placé sera supprimé.