En attendant l’arrivée des pompiers, des voisins se sont activés pour limiter les dégâts. « Les villageois ont eu un très bon réflexe : mouiller leurs maisons », explique l’adjudant-chef Nayrol. « Sans ça, le feu aurait pu très vite se propager à la dizaine de maisons. Ici les habitations sont à quelques mètres seulement les unes des autres. On est passé à côté d’un drame. »
Denis Raffault et Stéphane Jullien, deux voisins, ont bien failli y rester. « Avec la lance à incendie de la commune, nous avons commencé à attaquer le foyer au cœur de la deuxième maison atteinte, et quand la cuisine a été la proie des flammes, nous avons rebroussé chemin. Cinq minutes plus tard, une bouteille de gaz explosait. La maison s’est finalement embrasée en moins d’une demi-heure. »
Les pompiers de Bourg-Saint-Maurice ont pu circonscrire le sinistre aux alentours de 7 heures du matin. De ces habitations, anciennement des fermes, il ne reste que l’ossature en pierre.
Hier matin, techniciens de l’EDF et experts des assurances étaient à pied d’œuvre. Beaucoup de questions demeurent quant au départ de ce feu dans une maison inhabitée depuis longtemps. Une enquête de la gendarmerie est en cours pour connaître les circonstances exactes du sinistre qui a bien failli réduire en cendre la moitié de Montvenix.
www.ledauphine.com
Denis Raffault et Stéphane Jullien, deux voisins, ont bien failli y rester. « Avec la lance à incendie de la commune, nous avons commencé à attaquer le foyer au cœur de la deuxième maison atteinte, et quand la cuisine a été la proie des flammes, nous avons rebroussé chemin. Cinq minutes plus tard, une bouteille de gaz explosait. La maison s’est finalement embrasée en moins d’une demi-heure. »
Les pompiers de Bourg-Saint-Maurice ont pu circonscrire le sinistre aux alentours de 7 heures du matin. De ces habitations, anciennement des fermes, il ne reste que l’ossature en pierre.
Hier matin, techniciens de l’EDF et experts des assurances étaient à pied d’œuvre. Beaucoup de questions demeurent quant au départ de ce feu dans une maison inhabitée depuis longtemps. Une enquête de la gendarmerie est en cours pour connaître les circonstances exactes du sinistre qui a bien failli réduire en cendre la moitié de Montvenix.
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